Un bloc Ethereum, une unité de données enregistrée sur la blockchain Ethereum, capable de stocker des contrats intelligents et des transactions vérifiables. Also known as transaction blockchain, it enables creators to own, track, and monetize their work without middlemen. Ce n’est pas juste une technologie pour les investisseurs ou les cryptos : c’est un outil qui change la façon dont les films sont financés, distribués et protégés. Dans un monde où les plateformes de streaming suppriment des séries sans avertissement, où les droits d’auteur sont souvent bafoués, le bloc Ethereum offre une alternative concrète : une trace immuable, transparente et inaltérable de qui a créé quoi, quand et comment.
Le cinéma indépendant, une branche du cinéma financée hors des grands studios, souvent par des budgets limités et des financements participatifs est l’un des premiers à l’adopter. Des réalisateurs utilisent des contrats intelligents sur Ethereum pour collecter des fonds directement du public, sans passer par un producteur ou une plateforme. Quand vous investissez dans un film via une tokenisation sur blockchain, vous recevez une preuve numérique de votre contribution — et parfois une part des revenus futurs. C’est différent de Kickstarter : ici, tout est automatisé, vérifiable, et ne dépend d’aucune entreprise centrale. Le droits numériques, les droits légaux et techniques qui déterminent qui peut voir, copier ou diffuser un film en ligne deviennent gérables par le code. Un film peut être lié à un jeton unique, et chaque diffusion ou téléchargement est enregistré sur le bloc Ethereum. Pas de piratage invisible. Pas de comptes cachés. Juste une trace claire de qui a vu quoi, et combien doit être payé à qui.
Et ça ne s’arrête pas là. Les agents de vente de films indépendants, comme ceux décrits dans nos articles sur le packaging et les droits internationaux, commencent à utiliser Ethereum pour suivre les licences de diffusion dans chaque pays. Les festivals de cinéma testent des systèmes de billetterie sur blockchain pour éviter les faux billets et garantir que les revenus vont directement aux créateurs. Même les contrôles parentaux pour les contenus familiaux pourraient un jour être gérés par des contrats intelligents — un enfant ne peut regarder un film que si les droits sont validés sur la blockchain, pas par un mot de passe oublié.
Vous ne voyez pas encore ça dans les salles de cinéma traditionnelles ? C’est normal. La technologie est encore jeune. Mais elle grandit vite. Dans les articles qui suivent, vous trouverez des exemples concrets : comment des films indépendants ont utilisé Ethereum pour financer leur post-production, comment les droits de distribution sont devenus plus transparents, et pourquoi les cinéastes ne veulent plus dépendre des plateformes qui changent leurs règles chaque semaine. Ce n’est pas de la science-fiction. C’est déjà en train de se passer. Et vous, vous êtes prêt à regarder le cinéma autrement ?
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